En cette journée du bonheur, je partage un article de Thomas d’Ansembourg, psychothérapeuthe sur la thématique, et si le bonheur résidait dans l’apprentissage de nos crises….

« Je ne dis pas que l’expérience du malheur est une condition sine qua non à celle du bonheur, mais je constate que les personnes qui ont souffert, si elles ont travaillé sur cette souffrance, ont développé une certaine acuité au bonheur. Elles peuvent mieux le capter. Elles ont élargi leur champ de perception ».

« Pour cela, encore faut-il savoir « faire ses deuils ». « Si je refuse de faire les deuils des moment pénibles de ma vie, si je refuse de pleurer ce qu’il y a à pleurer, de vivre ma colère, alors ces deuils vont m’habiter ma vie entière »

« Car c’est bien vers une paix intérieure qu’il faut tendre, en vivant le moment présent, et non en se projetant sans cesse vers un illusoire bonheur futur. « Il y a des petits bonheurs qui sont des grands bonheurs » »

Je vous joins l’intégralité de l’article (qui contient également des petits exercices pratiques) sur le lien ci dessous et je vous en souhaite bonne lecture.

http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Bonheur/Articles-et-Dossiers/Le-bonheur-ca-s-apprend/Le-bonheur-est-dans-nos-crises

Sachez identifier et dépasser vos moments de crises, accueillir et vivre vos émotions sans tabou pour vous en « enrichir » afin de reconnaître les petits plaisirs et ainsi accéder aux petits bonheurs du quotidien…